Nouvelles en oncologie pédiatrique

Thomas et sa famille ont besoin d’aide

Avoir un pronostic de guérison d’un cancer de 80 %, mais de constater que la Régie de l’assurance maladie ne couvre pas les frais de traitement, c’est la réalité des parents du jeune Thomas, 6 ans, atteint d’un cancer médullaire de la glande thyroïde.

Lire la suite

Une première chirurgicale en pédiatrie au Canada: Le traitement d’un sarcome récidivant par chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale (CHIP) chez un garçon de 3 ans

Dans ce qui constitue une première chirurgicale au Québec et au Canada en ce qui concerne un enfant de moins de cinq ans, une équipe de chirurgiens du CHU Sainte-Justine et de l’Université de Montréal a récemment réalisé une procédure audacieuse sur un patient de 3 ans atteint d’un sarcome abdominal.

Lire la suite

Elle découvre que son bébé a le cancer grâce à son iPhone

Une mère de Gainesville, aux États-Unis, a permis de sauver la vie de son bébé en le prenant en photo.
Josie Rock a découvert que son enfant de quatre mois, Asher, était atteint du cancer de l’œil grâce à un cliché réalisé avec son iPhone, rapportent plusieurs médias américains.

Lire la suite

La Maison des projets : un espace dédié à la détente et au repos pour les enfants et adolescents atteints de cancer

Comment prendre soin du bien-être et de l’équilibre psychologique des enfants hospitalisés et de leurs parents ? Découvrez le projet de création de lieux de vie non directement dédiés aux soins au sein de l’Institut d’Hématologie et d’Oncologie pédiatrique de Lyon, permettant aux enfants une petite pause dans la tempête. Merci au Docteur Perrine Marec-Bérard de son témoignage

Lire la suite

Neuroblastome à haut risque : une thérapie ciblée pourrait être utilisée en première ligne

Une étude internationale coordonnée, en partie par le Dr Gudrun Schleiermacher, oncopédiatre et chercheuse à l’Institut Curie, montre que les altérations du gène ALK, identifiées en 2008 par l’équipe du Pr Olivier Delattre à l’Institut Curie, sont associées à un mauvais pronostic du neuroblastome à haut risque. Des résultats qui plaident en faveur de l’introduction des inhibiteurs de ALK dès le diagnostic. Ces travaux sont publiés dans le Journal of Clinical Oncology.

Lire la suite